Des dents comme au naturel, fixes et durables.
Qu’est-ce qu’un implant dentaire ?
Un implant dentaire est une racine artificielle intégrée dans l’os de la mâchoire qui sert à remplacer une racine manquante de dent naturelle, implant sur lequel sera ensuite placée une prothèse dentaire.
Les implants dentaires sont réalisés dans un matériau parfaitement biocompatible et durable qu’est le titane. Cependant, un nouveau matériau, le Zircon, a vu le jour et offre l’avantage d’être blanc (au lieu de métallique) mais présente des risques de fracture d’où une mise au point plus longue.
Les avantages de l’implant dentaire.
Lors du remplacement de dents perdues ou endommagées, l’utilisation d’implants dentaires évite d’avoir recours à un bridge ou encore à une prothèse partielle ou complète (comme un dentier), qui endommagerait les dents saines adjacentes.
L’implant dentaire, de par son confort (sensations, mastication, esthétique), est très proche des dents naturelles et présente de nombreux avantages. En effet, il ne peut être touché par les caries ou par un abcès du nerf.
De plus, l’utilisation d’implants dentaires limite le vieillissement du visage en ralentissant la fonte osseuse de la mâchoire qui peut être provoquée par l’absence d’une ou plusieurs dents.
L’intervention de pose d’implant.
Avant toute pose d’implant, le praticien devra s’assurer de la qualité et de la quantité de l’os qui recevra l’implant, en effet il peut être nécessaire chez certains patients de procéder à une greffe osseuse au préalable.
La pose d’implant dentaire est une intervention peu douloureuse, elle est pratiquée sous anesthésie locale et dure en moyenne 30 minutes, même dans le cas où plusieurs implants sont posés.
Une fois l’implant intégré à l’os, une période de cicatrisation appelée « ostéo-intégration » sera nécessaire avant de recevoir une prothèse dentaire définitive. Durant cette période, une prothèse provisoire pourra être posée (selon les cas). Lorsque l’os se sera parfaitement solidarisé à l’implant dentaire, le praticien pourra alors réaliser et poser une prothèse fixe ou mobile qui aura les mêmes fonctions que les dents naturelles.
Selon les besoins, une dent en céramique sera fixée sur l’implant, et dans le cas de plusieurs dents manquantes, un bridge (pont fixe) ou une prothèse amovible sera fixé à l’aide de plusieurs implants dentaires.
Avoir recours à l’implantologie dentaire
Les différentes situations
Toute dent absente peut être remplacée par une dent en céramique fixée sur un implant.
Dans le cas où le patient ne possède plus aucune dent, de 4 à 8 implants dentaires, posés à chaque mâchoire, recevront 12 à 14 dents ce qui permettra de retrouver une nouvelle dentition fixe et permanente en remplacement d’un dentier.
En revanche, plus le nombre d’implants posés est grand, plus le prix de l’intervention sera élevé. Néanmoins, la stabilité sur le long terme sera plus grande.
Il est également possible pour en diminuer le coût, de réaliser une prothèse amovible qui sera stabilisée par 2 implants.
Certaines situations offrent la possibilité d’une mise en place immédiate d’une dent provisoire sur implant, vous permettant ainsi de continuer une vie sociale et professionnelle sans aucune gêne.
L’utilisation de mini-implants peut être préconisée dans des cas de traitements orthodontiques afin de tracter les dents.
Les évolutions de l’implantologie
Depuis près de 40 ans, ces différents types de traitement mis en place par le Professeur Branemark en Suède (Brånemark-Integration® et Ospol® sociétés Suédoises avec lesquelles nous avons un partenariat privilégié), sont toujours d’actualité.
Néanmoins, les techniques ont subi de nombreuses évolutions notamment grâce à l’usage de l’outil informatique qui intervient dans la chirurgie, dans la conception des prothèses dentaires ou encore dans l’établissement des plans de traitements.
Un taux de réussite scientifiquement prouvé
D’après de nombreuses études et statistiques, la réussite (taux d’intégration) dépend du volume et de la qualité de l’os dans lequel est posé l’implant dentaire.
Dans le cas d’un patient en bonne santé, les taux de succès sont les suivants :
• 95% pour la mâchoire supérieure et la partie arrière de la mâchoire inférieure.
• 96-98% pour la partie avant de la mâchoire inférieure.
• Ces taux diminuent de 20 % lorsqu’il s’agit d’un patient fumeur.